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Dans le printemps qui pète

DANS LE PRINTEMPS QUI PÈTE

 

 

Trop tôt pour t’appeler

Mais le ciel est trop bleu

Pour ne pas te le murmurer

À l’oreille

Tandis que te berce Morphée

Qu’on jalouse sans pareil

 

Va encore

Navigue dans tes rêves

Ils garderont

Le temple de ta raison

El nave va, Maltese

Viens embrasser auprès

Vive le droit à la paresse

Bonjour

Au boulot les poètes

Dans le printemps qui pète

 

Puissance muette du regard

Langage de nos corps

Il faut dire et chanter

Les charmes

Pour qu’ils opèrent

Dans cet infini là

Nous, sommes cet instant

Pour l’éternité

 

Qu’il est bon d’aimer

D’être aimé

Se laisser aller

À nous-mêmes

Aujourd’hui nous avons

L’âge du printemps

Je t’aime

Je vous aime

La belle inspiration

 

 

 

 

 

 


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